Thèmes du manuel 1. Fondements de la sauvegarde Fondements en sauvegarde 2. Avantages et inconvénients du sport Avantages et les dommages dans le sport 3. Régulation du stress Le stress règlement 4. Résilience du cerveau et du corps Cerveau et corps résilience 5. Valeurs fondamentales Valeurs fondamentales 6. Regardez, écoutez et créez des liens Regardez, écoutez & lien 7. Play-by-Play Play-by-Play

5. Valeurs fondamentales

Mettre en œuvre lesvaleurs fondamentales de Sport Coach+

Veiller à ce que les environnements sportifs et les entraîneurs soient sûrs et à ce que les jeunes joueurs soient protégés contre les dommages physiques et psychologiques.
Traitez tous les jeunes joueurs avec respect et dignité et veillez à ce qu'ils puissent développer leur efficacité et leur résilience en s'engageant dans des défis gérables.
Promouvoir l'intégration et l'appartenance de tous les jeunes joueurs, indépendamment de leurs capacités, de leur sexe, de leur âge ou de leur origine sociale ou culturelle.
SÉCURITÉ DIGNITÉ INCLUSION

Favoriser la sécurité, la dignité et l’inclusion dans le sport.

Sport Coach+ intègre les valeurs fondamentales de sécurité, de dignité et d’inclusion dans le sport.

Les entraîneurs peuvent mettre en œuvre ces valeurs dans la manière dont ils mettent en place l’environnement sportif, dans la façon dont ils interagissent avec les joueurs (et guident les joueurs pour qu’ils interagissent les uns avec les autres) et dans les activités qu’ils pratiquent ensemble.

La sécurité, la dignité et l’inclusion créent des conditions qui motivent les jeunes joueurs à participer et soutiennent le bien-être des jeunes joueurs qui ont vécu des événements stressants tels que le déplacement. Elles contribuent également à répondre aux besoins d’autonomie, de compétence et de relation des jeunes joueurs (voir l’explication de la théorie de l’autodétermination).

Recommandations pour créer un environnement prévisible, accueillant et sûr.

Le sport peut apporter toute une série d’avantages aux jeunes touchés par le déplacement ou d’autres formes d’adversité :

  • Appliquer des activités qui suivent un format prévisible.
  • Appliquez une routine de transition afin que les jeunes joueurs sachent où aller et quoi faire lorsqu’ils arrivent.
  • Soyez toujours encourageant et gentil. Restez calme dans les moments de stress.
  • Restez ouvert et réceptif aux préoccupations des jeunes joueurs.
  • Co-créer les attentes de l’équipe et s’assurer que tout le monde les comprend et y a accès.
  • Réagir de manière cohérente aux jeunes joueurs dont le comportement va à l’encontre de l’éthique et des règles de base de l’équipe ou du club.
  • Agissez rapidement en cas de situation dangereuse pour les joueurs et soyez attentifs aux dynamiques individuelles et de groupe qui influencent la sécurité, la dignité et l’inclusion.
  • Veillez à ce que les jeunes joueurs soient en sécurité dès leur arrivée à l’entraînement ou au match. Les entrées et les espaces d’activité doivent être exempts de tout danger, bien éclairés et surveillés de manière appropriée.
  • Assurez-vous que les jeunes joueurs savent qui sera présent dans l’espace, y compris les autres équipes et activités.
  • Veillez à ce que les salles de bains et les vestiaires soient accessibles et à ce que des espaces privés soient mis à la disposition des jeunes qui en ont besoin.
  • Fournissez aux jeunes joueurs des articles qui répondent à leurs besoins fondamentaux, tels que de l’eau, des en-cas et des produits menstruels.
  • Veillez à ce que les jeunes joueurs aient accès à l’équipement sportif dont ils ont besoin, y compris la bonne taille, adapté aux règles de leur sport, approprié à leur culture et comprenant des vêtements de protection si nécessaire.

5.1. La sécurité

Créer des environnements prévisibles, accueillants et sûrs.

Un environnement physiquement et psychologiquement sûr est prévisible, accueillant et répond aux divers besoins des jeunes joueurs. Ceci est particulièrement important pour ceux qui ont déjà vécu des événements stressants. Les entraîneurs peuvent promouvoir la sécurité en

1
Soyez prévisible
2
Soyez cohérent et aimable
3
Sécurité des adresses

5.2. Dignité

Promouvoir la dignité dans l’environnement sportif

Les activités doivent être soigneusement planifiées si l’on veut préserver la dignité et le bien-être de tous les jeunes joueurs.

Lorsque les jeunes joueurs sont respectés pour ce qu’ils sont et qu’ils peuvent démontrer ce qu’ils sont capables de faire, quelles que soient les limites perçues, cela renforce leur estime de soi et leur efficacité personnelle et préserve leur dignité essentielle.

Les entraîneurs respectent la dignité en s’appuyant sur les forces et les intérêts des individus. Apprenez comment les entraîneurs peuvent s’assurer que tous les jeunes joueurs sont traités avec dignité :

1
Co-créer des règles de base
2
Compétences et résistance au stress
3
Reconnaître et saluer les efforts

Respecter la dignité et le bien-être

Sport Coach+ des recommandations pour respecter la dignité de tous les jeunes joueurs.

  • Les entraîneurs et l’équipe fixent ensemble les règles de base et les conséquences.
  • Chacun est responsable de lui-même et du groupe.
  • Les conséquences en cas de non-respect des règles de base sont appropriées et n’ont rien de honteux pour un jeune joueur.
  • Les entraîneurs rappellent régulièrement les règles de base.
  • Les entraîneurs veillent à ce que tous les jeunes joueurs fassent l’expérience de la réussite avant de s’attaquer à des tâches plus difficiles.
  • Les jeunes joueurs sont invités à participer (opt-in) et ont toujours la possibilité de se retirer en fonction des activités et des niveaux de stress qui leur conviennent.
  • Il existe des routines établies pour les jeunes joueurs qui ont besoin d’une « remise à zéro » (une pause pour se réguler).
  • Les jeunes joueurs sont encouragés et soutenus pour réfléchir régulièrement à leur expérience.
  • Félicitez les jeunes lorsqu’ils font de bonnes choses, par exemple lorsqu’ils font des efforts, travaillent en équipe ou prennent une bonne décision. Les compliments doivent être spécifiques et porter sur un élément que le jeune peut contrôler.
  • Les activités sportives ne sont pas utilisées comme « punition », par exemple en obligeant un jeune joueur à courir des tours ou à faire des pompes s’il est en retard.
  • Chaque jeune joueur est reconnu et honoré pour ses efforts et sa contribution.
  • Chaque jeune joueur est accepté et valorisé pour toutes ses capacités, et personne n’est obligé de se démarquer.
  • Aucun jeune joueur n’est honteux, jugé ou puni pour ses erreurs.

Ce que cela signifie pour moi et mes jeunes joueurs

  • Quels types d’activités de remise à zéro conviendraient à vos jeunes joueurs, en fonction de leur âge, de leur culture, de leur sexe et de leurs capacités ?
  • Où les jeunes joueurs peuvent-ils se rendre dans l’environnement sportif pour prendre le temps de se ressourcer ?
  • Comment normaliser au mieux la « remise à zéro » en tant que moyen utile et acceptable pour les jeunes joueurs de réguler leur stress ?

Les activités de remise à zéro permettent aux jeunes joueurs qui luttent contre leurs émotions de faire une pause dans la tâche qui leur est assignée afin de se réguler par des mouvements utiles. Les activités de remise à zéro appropriées dépendent du sport et du contexte culturel. En voici quelques exemples :

– Les jeunes joueurs peuvent s’adonner à des activités répétitives qui renforcent leurs compétences, comme frapper un ballon contre un mur ou travailler une technique spécifique de maniement du ballon.

– Prendre quelques minutes pour faire autre chose d’actif, comme sauter à la corde, lancer un ballon ou faire un circuit d’entraînement.

– Demander à l’ensemble de l’équipe de se remettre à zéro par une simple activité de mouvement. Par exemple, l’entraîneur peut dire : « Tout le monde prend une minute pour courir et toucher la ligne de faute (ou un autre endroit désigné) : « Tout le monde prend une minute pour courir et toucher la ligne de faute (ou un autre endroit désigné), se réinitialiser et revenir avec une nouvelle énergie ».

5.3. Inclusion

Promouvoir l’inclusion

Se sentir en sécurité, savoir qu’on les apprécie et avoir le sentiment d’appartenir à un groupe positif sont autant d’éléments très importants pour la guérison et le rétablissement des jeunes à la suite d’expériences stressantes, y compris le déplacement. Ces éléments sont également des points de départ essentiels pour développer les compétences sociales et émotionnelles des jeunes joueurs.

Les entraîneurs peuvent promouvoir l’inclusion de manière pratique en


1
Instaurer une culture d'équipe accueillante
2
Établir des relations de confiance et cohérentes
3
Favoriser l'autonomie
4
Mettre en œuvre des plans d'inclusion

Moyens pratiques de promouvoir l’inclusion

Instaurez une culture d’équipe accueillante:

  • Les entraîneurs saluent les jeunes joueurs par leur nom et favorisent un esprit de groupe positif. Les jeunes joueurs sont activement et intentionnellement accueillis et inclus dans les activités.
  • Les entraîneurs donnent aux jeunes joueurs l’occasion de faire connaissance par le biais de présentations ou de jeux. – Tout le monde participe activement et personne n’est exclu ou éliminé.
  • Des aménagements sont effectués pour que les jeunes ayant des capacités différentes puissent participer et se sentir également inclus en modifiant les activités ou l’espace et en encourageant chaque joueur à atteindre ses propres objectifs et réalisations.
  • La culture, la religion, l’âge et le sexe des jeunes joueurs sont pris en compte afin qu’ils puissent participer d’une manière qui préserve leur dignité et leurs coutumes.
  • Les jeunes joueurs sont désignés par des termes non sexistes, tels que leur nom ou leurs « amis sportifs ». N’appelez pas tous les joueurs « les gars ».
  • Les entraîneurs utilisent des méthodes pour répartir les jeunes joueurs dans les équipes qui ne provoquent pas d’exclusion et ne nuisent pas à l’estime de soi. Par exemple, au lieu de laisser les jeunes choisir leurs équipes, les entraîneurs utilisent des méthodes neutres pour répartir les équipes : mois d’anniversaire, fruit préféré ou générateur de groupes aléatoires.

Établissez des relations de confiance et cohérentes :

  • Les entraîneurs comprennent que les jeunes joueurs les admirent et que leur opinion compte.
  • Les entraîneurs sont cohérents avec les jeunes joueurs, afin qu’ils sachent à quoi s’attendre, qu’ils se sentent en sécurité et qu’ils aient un sentiment d’appartenance. – Les entraîneurs aident les jeunes joueurs à réguler leur stress, en particulier ceux qui souffrent de dysrégulation et qui peuvent avoir des difficultés à se connecter et à interagir avec les autres.
  • Les entraîneurs favorisent la coopération, le travail d’équipe et une identité de groupe positive, et aident les jeunes joueurs à acquérir des compétences importantes pour la vie grâce au sport.
  • Les jeunes joueurs voient leurs entraîneurs réfléchir à leurs préjugés et s’efforcer de les modifier.
  • Les entraîneurs invitent et engagent les jeunes joueurs dans le processus de développement des compétences en posant des questions, au lieu de se contenter de donner des instructions. Le fait de poser des questions entraîne les jeunes dans le processus d’apprentissage, leur donne le sentiment d’être vus et entendus, et fournit aux entraîneurs des informations sur le jeune joueur qui sont essentielles à son développement.
  • Les jeunes joueurs sont encouragés à faire part aux entraîneurs de leurs expériences, de manière formelle ou informelle.

Favoriser l’autonomie :

  • Les jeunes joueurs se voient confier des rôles et des responsabilités qui témoignent de leur confiance en leurs capacités, les aident à apporter une contribution significative et renforcent leur sentiment d’appartenance.
  • Les rôles et les responsabilités consistent notamment à permettre aux jeunes joueurs de choisir et de diriger les activités d’entraînement, d’être responsables de la mise en place des exercices, de gérer l’équipement, etc.

Mettre en œuvre des plans d’inclusion :

  • Permettez aux jeunes joueurs de participer à des activités naturellement inclusives, basées sur ce que chacun peut faire avec peu ou pas de modifications.
  • Modifiez ou adaptez l’activité afin d’apporter un soutien et un défi à un éventail de capacités différentes.
  • Regroupez les jeunes joueurs en fonction de leurs capacités, et chaque groupe effectue une version de la même activité, mais à un niveau qui convient aux individus de chaque groupe.
  • Aidez les individus à travailler séparément pendant un certain temps sur des compétences spécifiques avant de rejoindre l’ensemble du groupe.
  • Aborder les questions de genre liées au sport et à l’activité physique.
  • Considérez les implications de la participation de jeunes et de moins jeunes à la même activité, comme le langage approprié, les différents niveaux de maturité et de développement cognitif, le contact physique et les différents niveaux de compétence.

5.4. Bonnes pratiques d’accompagnement

5.5. Considérer la culture

Les valeurs d’excellence, d’amitié et de respect (5)offrent un cadre unique pour le dialogue interculturel et le rapprochement de jeunes d’origines différentes. Cependant, lorsqu’ils travaillent avec des jeunes joueurs d’origines différentes, les entraîneurs doivent tenir compte de la manière dont la culture peut déterminer leur comportement :

  • Comment les concepts de sécurité, de dignité et d’inclusion sont compris ;
  • les attentes concernant la manière dont les jeunes joueurs de différentes origines devraient se comporter, s’exprimer et participer au sport ; et
  • Ce dont les différents jeunes joueurs peuvent avoir besoin pour faire l’expérience de la sécurité, de la dignité et de l’inclusion.

Qu’entendons-nous par culture ?

La culture englobe les comportements sociaux, les institutions et les normes et comprend des aspects tels que la nationalité, la religion, l’ethnicité, la santé, l’art, la musique, la mode, l’alimentation et le sport.

Les différences culturelles et politiques peuvent poser des problèmes ; les entraîneurs doivent donc être conscients de ces questions et résoudre les conflits lorsqu’ils surviennent.

Considérations culturelles pour un sport sûr et solidaire

Communication

Le sport est souvent fondé sur des règles qui sont partagées dans le monde entier. Cela permet de participer même en l’absence d’une langue parlée commune. Cependant, il est important que les entraîneurs puissent communiquer efficacement avec les jeunes joueurs et les comprendre. Lorsque les entraîneurs et les joueurs ne parlent pas la même langue, améliorez la communication en apprenant des mots de base dans la langue de l’autre, en utilisant le langage non verbal et les signes, en mettant en place des compagnons de langue ou en utilisant des applications de traduction en ligne.

Genre

Le genre influence la capacité et la motivation du jeune joueur à participer à des activités sportives, les interactions avec ses pairs et la manière dont il réagit à différentes situations. Tenez compte du genre lorsque vous cherchez à favoriser la sécurité, la dignité et l’inclusion (par exemple, tout besoin d’activités séparées pour les deux sexes, les considérations vestimentaires, l’équilibre entre les sexes parmi les entraîneurs, les besoins de formation parmi les entraîneurs).

Diversité des entraîneurs

Les entraîneurs peuvent avoir des origines différentes ou similaires à celles des jeunes joueurs en termes d’appartenance ethnique, de croyances religieuses ou politiques, de sexe, etc. Les entraîneurs peuvent utiliser leurs similitudes et leurs différences pour renforcer la sécurité, la dignité et l’inclusion et peuvent servir de modèles.

Langue de l’identité

Si la culture s’y prête, avant de commencer le sport, demandez en privé à chaque jeune joueur comment il s’identifie et quels pronoms il préfère (par exemple, il, elle, ils). Cela ne doit pas se faire en public, afin de ne pas « dévoiler » un jeune joueur sans son consentement, de ne pas l’embarrasser et de ne pas le mettre en danger.

Langue

Soyez conscient de la manière dont certaines phrases et certains mots peuvent être traduits et compris. Soyez conscient et minimisez le langage des jeunes joueurs qui peut renforcer les stéréotypes ou la discrimination culturelle souvent axée sur la religion, l’ethnicité, la race, le sexe, l’âge ou le handicap.

Traumatisme

La culture joue un rôle important dans la manière dont les gens vivent, comprennent et se remettent d’événements pénibles, y compris les déplacements. Veillez à ce que le sport tienne compte des traumatismes en invitant les jeunes joueurs à prendre part aux activités d’une manière qui leur convienne, y compris en se retirant lorsqu’ils en ont besoin.

L’adhésion

Le sport peut être considéré par certains comme inutile, comme une distraction par rapport aux activités familiales, académiques ou de subsistance et/ou comme une immoralité religieuse. Pour obtenir l’adhésion des familles, envisagez de trouver des moyens de les inclure dans les activités sportives (journées portes ouvertes, présentation d’une activité sportive) et de rencontrer les parents/tuteurs pour discuter de leurs inquiétudes.

« Tout entraîneur peut avoir un impact positif sur un jeune, mais la différence entre les sexes mérite d’être soulignée : les filles ont beaucoup moins de chances d’avoir des entraîneurs féminins que les garçons d’avoir des entraîneurs masculins. Et les garçons ont encore moins de chances d’avoir des entraîneurs féminins. Cela signifie que la plupart des bonnes leçons [learnt by young players form their coaches] sont données par des hommes. Ne voulons-nous pas que nos enfants voient des femmes dans des rôles positifs de leadership et de mentorat ?

Contribution du Centre pour la guérison et la justice par le sport (CHJS)

Références

  • (1) Centre de référence de la FICR pour le soutien psychosocial (Centre PS) (2014). Bouger ensemble : Promouvoir le bien-être psychosocial par le sport et l’activité physique. 25-30. Extrait de https://pscentre.org/wp-content/uploads/2018/02/Moving-Together_English_low.pdf
  • (3) Pour des conseils plus détaillés sur la promotion de l’inclusion, voir le Centre de référence de la FICR pour le soutien psychosocial (Centre PS) (2014). Moving Together : Promouvoir le bien-être psychosocial par le sport et l’activité physique. Extrait de https://pscentre.org/wp-content/uploads/2018/02/Moving-Together_English_low.pdf
  • (5) Olympisme et Mouvement olympique ; quelles sont les valeurs olympiques. Extrait de https://olympics.com/ioc/faq/olympism-and-the-olympic-movement/what-are-the-olympic-values
  • (7) Adapté du Centre pour la guérison et la justice par le sport (CHJS). (2020). Guide de l’entraînement des filles : Comment faire jouer les filles (et les garder) ; Stratégies pour engager et retenir les filles dans le sport. Extrait de https://chjs.org/resources/how-to-get-and-keep-girls-playing/
  • ((2)Centre de référence de la FICR pour le soutien psychosocial (Centre PS) (2014). Bouger ensemble : Promouvoir le bien-être psychosocial par le sport et l’activité physique. (Module de formation). 39-41. Extrait de https://pscentre.org/wp-content/uploads/2018/02/Moving-together-training-for-web.pdf
  • (4) Adapté du Centre pour la guérison et la justice par le sport (CHJS). (2023). Rien ne guérit comme le sport : Un nouveau manuel de jeu pour les entraîneurs. Extrait de https://www.canva.com/design/DAFisvSIRbQ/Bbyzu_hpUhOJIr2NrPhK6A/view#46
  • (6) Le programme ASPIRE, financé par l’UE, dispose de nombreuses ressources pour soutenir la création d’opportunités de participation des réfugiés au sport et à la vie de la communauté par le biais du sport, notamment en surmontant les différences linguistiques verbales. Voir ENGSO. ASPIRE – Activité, sport et jeu pour l’inclusion des réfugiés en Europe. Cours de formation en ligne. Tiré de ASPIRE – The European Sports NGO (engso-education.eu)